Tubiste
Maxime Morel débute la musique par le tuba, ou plutôt par son petit frère le saxhorn vers l’âge de 10 ans. Il intègre le Conservatoire de Lille, où il travaillera avec Gabriel Capet pour obtenir un prix en Tuba et en Saxhorn. En 2008, il rentre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de Gérard Buquet, et obtient une Licence et un Master de Tuba, une Licence de Musique de Chambre dans la classe de Jens McManama, et un Prix d’Improvisation Générative dans la classe d’Alexandros Markeas et Vincent Le Quang.
Très tôt intéressé par l’orchestre il a participé à l’orchestre Français des Jeunes de 2009 à 2011. Et a pu se produire avec différents orchestres comme, l’Orchestre National de France, l’Opéra de Paris, l’Ensemble Intercontemporain, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, l’Orchestre National des Pays de la Loire, l’Orchestre National d’Ile de France, l’Orchestre National de Bordeaux Aquitaine, l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, l’Orchestre National de Lille. Avec des chefs tels que Daniele Gatti, Myung-Whun Chung, Alain Lombard, Josep Pons, Emilio Pomarico, ou encore David Zinman.
Durant son parcours Lillois, il a pu rencontrer et travailler avec Olivier Benoit et a rejoint « La Pieuvre » puis le collectif Muzzix avec lequel il participe et développe différents projets, du solo au grand orchestre en passant par le trio.
Depuis 2011, il se produit régulièrement au sein de la compagnie Compagnie voQue/rebotier dans des spectacles mêlant la musique et la poésie, et a pu jouer dans des festivals comme le Festival Amadeus ou le Festival Berlioz.
En solo, il a pu se produire à La Rose des Vents à Villeneuve d’Ascq, au Festival le Classique c’est pour les Vieux à Paris, au Festival Manifeste de l’Ircam à Paris, et au Festival Mikromusik du Berliner Künstlerprogramm des DAAD à Berlin.
Sa curiosité pour la création, l’expérimentation et l’improvisation l’ont amenée prendre part à différents projets de l’ensemble Le Balcon, du collectif WARN !NG et récemment du Collectif Spat’Sonore.